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Evaluation et Prise en charge du risque suicidaire chez les adolescents et jeunes adultes.
Avec environ 9 000 décès par suicide par an, la France présente un des taux de suicide les plus élevés d'Europe. En effet, on compte environ 200.000 tentatives de suicide et 90 000 hospitalisations pour tentative de suicide par an (source : infosuicide.org). Depuis la crise sanitaire de 2020 ces chiffres sont en augmentation avec en parallèle une insuffisance de services de soins adaptés, en particulier chez les adolescents et jeunes adultes (source : Santé Publique France). Il y a donc une nécessité pour l’ensemble des soignants de pouvoir évaluer le plus précocement possible le risque de passage à l’acte face à une crise suicidaire et de proposer une prise en charge adaptée en urgence. Dans ce cadre, les professionnels suivants à savoir, infirmier, médecin d’urgence, pédiatre, psychiatre, médecin généraliste se retrouvent souvent en première ligne devant le patient en détresse, en souffrance et doivent être outiller pour évaluer et proposer une prise en charge adaptée.....Plus d'informationsLes pratiques addictives spécifiques : le mésusage des médicaments psychotropes.
Le mésusage et l’usage détourné des médicaments psychotropes non opiacés concerne le plus souvent les anxiolytiques, les hypnotiques et les psychostimulants. La plupart du temps ces médicaments ont été prescrits ou sont pris en auto médication. En France en 2017, les anxiolytiques sont les plus consommés avec 1,4 boite par habitant et par an. Du fait de leur perturbation sur la vigilance et des risques de dépendance qu’ils entrainent, ces médicaments peuvent occasionner des usages problématiques. Les médecins prescripteurs doivent rester vigilants face au risque de mésusage des médicaments psychotropes et pouvoir proposer un accompagnement et une prise en charge adaptés. Les médecins généralistes, gériatres et psychiatres se retrouvent bien souvent en première ligne pour repérer ces conduites addictives, orienter et accompagner la prise en charge.....Plus d'informationsLes pratiques addictives spécifiques : tabac / cannabis
La consommation de cannabis en France est aujourd’hui au plus haut niveau depuis 25 ans selon le Baromètre santé 2017 de Santé publique France, conduit avec l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). Plus d'un quart des jeunes de 18-25 ans (26,9%) serait consommateur. Le cannabis est la plupart du temps consommé avec du tabac, entrainant une forte dépendance physique. Lors du sevrage d’une consommation de cannabis ; il faut également prendre en charge la dépendance au tabac. Les médecins au contact de patients fumeurs doivent donc connaitre ces particularités pour repérer une dépendance et proposer une prise en charge adaptée. Les médecins généralistes, pédiatres et psychiatres se retrouvent bien souvent en première ligne pour repérer ces conduites addictives, orienter et accompagner la prise en charge.....Plus d'informationsLes pratiques addictives
La consommation de substances psycho actives constitue aujourd’hui une des causes majeures de mortalité précoce en France, en particulier chez les moins de 25 ans. Depuis la pandémie liée au Covid-19, les profils de consommateurs ont évolué, de même que les tendances de consommation au sein de la population générale (rapport Trend Marseille Paca, Observatoire français des Drogues et Toxicomanies, 2020). Les dispositifs de soins ont également fortement été impactés, ce qui fait considérer la prise en charge des conduites addictives comme une priorité de santé publique à l’heure actuelle. Les médecins généralistes, pédiatres et psychiatres se retrouvent bien souvent en première ligne pour repérer ces conduites addictives, orienter et accompagner la prise en charge.....Plus d'informationsLes pratiques addictives spécifiques : alcool/ cocaïne
L’alcool est la substance psychoactive la plus consommée en France, avec 87% des consommateurs dans la tranche 18-75 ans. L’alcool est en 1ère position en termes de conséquences néfastes sur la santé à l’échelle de la population, devant l’héroïne, le crack, la cocaïne. C’est aujourd’hui la 1ère cause d’hospitalisation en France. La cocaïne est une substance de plus en plus consommée, en particulier par les jeunes. Les effets euphorisants et désinhibants de cette substance entrainent fréquemment une consommation d’alcool associée, avec des profils de consommateurs communs. Les médecins généralistes, pédiatres et psychiatres se retrouvent bien souvent en première ligne pour repérer ces conduites addictives, orienter et accompagner la prise en charge.....Plus d'informationsRepérage du risque suicidaire chez l’adolescent et l’adulte jeune
Avec environ 9 000 décès par suicide par an, la France présente un des taux de suicide les plus élevés d'Europe. En effet, on compte environ 200.000 tentatives de suicide et 90 000 hospitalisations pour tentative de suicide par an (source : infosuicide.org). Depuis la crise sanitaire de 2020 ces chiffres sont en augmentation avec une croissance spectaculaire de plus de 22% chez les jeunes femmes en 2021 (source : Observatoire National du Suicide, 5è rapport de septembre 2022). Il y a donc une nécessité pour l’ensemble des soignants de repérer les adolescents et jeunes adultes vulnérables et les situations inquiétantes de manière à prévenir le plus précocement possible le risque de passage à l’acte. Dans ce cadre, les professionnels suivants à savoir, infirmier, médecin d’urgence, pédiatre, psychiatre, médecin généraliste se retrouvent souvent en première ligne devant le patient en détresse, en souffrance et doivent être outiller pour repérer et prévenir.....Plus d'informationsDémarche diagnostique en Médecine Générale devant une douleur lombaire
Les lombalgies communes aigues ou chroniques sont un vrai problème de santé publique. La lombalgie est un symptôme d'une fréquence très élevée en pratique de médecine générale. Selon la Haute Autorité de Santé la lombalgie commune est : « La lombalgie aiguë et chronique est, à la fois, un problème de santé publique et de santé au travail, avec un impact direct sur la désinsertion professionnelle et un impact économique et social majeur. La prévalence de la lombalgie est de 84 % sur une vie entière. L’évolution vers la chronicité (durée supérieure à 3 mois) est observée dans 6 à 8 % des cas. Il faut souligner que 90 % des patients guérissent en moins de 4 à 6 semaines, que la lombalgie subaiguë (entre 4-6 semaines et la fin du 3e mois) ne concerne que 3 % des patients. Les lombalgies représentent 20 % des accidents du travail (AT) et 7 % des maladies professionnelles (MP) ». La lombalgie est rapidement source d'impotence fonctionnelle majeure installant le patient dans l’anxiété et le stress, et souhaitant alors, un diagnostic rapide pour un soulagement durable. Le médecin spécialiste en médecine générale est, en règle, le premier recours. Son rôle est primordial, car du résultat de son diagnostic étiologique dépend une prise en charge adaptée, qui doit conduire à une récupération fonctionnelle rapide pour éviter le passage catastrophique à la chronicité. Pour porter un diagnostic étiologique, précoce et précis. Il s’appuiera sur une analyse clinique méthodique et critique. Il peut, dans ce but, s'appuyer sur des outils diagnostiques informatisés alignés sur la CIM 10, le dictionnaire des consultations, des arbres décisionnels et des examens complémentaires, autant que de besoin. Ce programme intégré combine une action de formation continue présentielle à une évaluation des pratiques professionnelles non présentielle sous forme d’audit clinique en amont et en aval de cette dite étape d’enseignement. Le temps de formation continue associera un travail sur le raisonnement clinique permettant de poser un diagnostic étiologique de lombalgies à travers des cas cliniques. Une large place sera consacrée aux travaux pratiques. Dans ce cadre, ce programme intégré s’adresse au médecin généraliste et s’inscrit dans la fiche de cadrage N° 99 : Spécificités diagnostiques dans les situations cliniques fréquentes en médecine générale.....Plus d'informationsGestes techniques utiles pour le médecin généraliste : la spirométrie
L’Exploration Fonctionnelle Respiratoire (EFR) est un examen qui permet d'explorer, de manière objective et quantifiée, la capacité respiratoire d'un patient. Cette exploration de la fonction respiratoire permet de : Diagnostiquer certaines maladies pulmonaires (asthme, bronchite chronique, fibrose pulmonaire…), Evaluer le retentissement respiratoire de maladies pulmonaires ou d’autres maladies, Evaluer le retentissement respiratoire suite à l’inhalation de toxiques (amiante, silice…), Suivre les maladies respiratoires chroniques et évaluer l’efficacité du traitement, Evaluer le risque respiratoire avant une intervention. La spirométrie est l’examen de base des EFR. Elle permet d’étudier les débits ventilatoires (notamment le VEMS : volume expiré maximum seconde, c’est-à-dire le volume maximal que le patient peut expirer en une seconde) et les volumes mobilisables (capacité vitale : volume total mobilisé après une inspiration et une expiration maximale). Elle est utile au médecin généraliste en pratique quotidienne, soit de manière directe en réalisant les examens fonctionnels, soit de manière indirecte en utilisant les résultats de ces examens auprès des patients. La Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF) a émis des recommandations pour ces pratiques et leurs interprétations en 2011 afin d'harmoniser la réalisation des épreuves fonctionnelles. Ce consensus est fondamental pour le suivi des patients, le médecin généraliste étant très souvent en première ligne. Ainsi, le programme contient une partie théorique de rappels de physiopathologie respiratoire. Puis, il explique les tests utilisés pour l'évaluation fonctionnelle respiratoire en insistant sur le plus utilisé en pratique qu'est la spirométrie. Les règles de bonne exécution seront données aux participants selon les recommandations de la SPLF ainsi que des outils permettant d'assurer le suivi de l'information entre les personnes réalisant les tests et les médecins chargés de les interpréter. La partie pratique consistera en un atelier de spirométrie avec réalisation des tests et interprétation de cas cliniques. Ce programme s’inscrit au niveau de la fiche de cadrage N°97 : « Gestes techniques utiles dans la pratique de la médecine générale ».....Plus d'informationsViolences faites aux femmes au sein du couple : comment ne plus passer à côté.
En France, sur 10 patientes vues en consultation, 3 à 4 pourraient être victimes de violences conjugales.
Les violences conjugales peuvent revêtir plusieurs formes (verbales, psychologiques, physiques, économiques etc) et constituent une véritable problématique de santé publique.
Leurs mises en œuvre nécessitent une meilleure formation des professionnels de santé à repérer, prendre en charge et orienter ces victimes.
Ce programme s’adresse donc aux professionnels de santé, acteurs de premier plan pour le repérage des violences conjugales faites aux femmes.
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